Première soirée du genre pour les gribouilleurs et les gribouilleuses peu importe leurs niveaux. Le but ; échanger, partager, s’améliorer ensemble !

Crée en 2025 à Genève, le Trio Ela réunit Alessandra Fusco(piano), Elissa Bertorelli (violoncelle) et Lucrezia Flores Montes (violon), étudiantes en cursus préprofessionnel au Conservatoire populaire. Portées par une belle amitié, elles partagent avec plaisir leur passion pour la musique de chambre.
Entre Mendelssohn et Piazzolla, elles vous proposent un moment de partage, riche en contraste et en émotions.
Avec KRAFT, l’art du nu prend vie sur les murs de La Galerie. Les nus de Carmen capturent l’essence de la vulnérabilité et de la beauté du corps humain. A travers se oeuvres, elle interroge les notions d’intimité et d’identité, mettant en avant des poses audacieuses et des lignes expressives.
KRAFT propose un dialogue entre l’art et l’espace et invite le spectateur à une réflexion personnelle sur le corps et la perception. Carmen transforme l’espace dans un véritable tableau vivant. Elle présente un concept innovant de collage des œuvres originales d’après modèle vivant, directement sur les murs, hors cadre.
« Ce sont deux sacrés personnages. Deux doux dingues. Les pieds bien ancrés sur terre et la tête dans étoiles. Les voilà partis pour 6000 km de concerts à vélo! Jouant de profondeur, de légèreté, le spectacle rythmé par leurs compositions entrelacées feront vibrer le cœur et les méninges. Le message est fort, le verbe est haut, la poésie et la tendresse dégoulinent. Les notes de leurs guitares, quant à elles, filent sur la portée de la vie pour envelopper tout ça »
Vous êtes cordialement conviés le vendredi 22 mars 2019, dès 19h, au vernissage de la prochaine exposition de photographie de Nora Teylouni « Quarante-sept jours », à l’association La Galerie à Genève, visible jusqu’au 13 avril 2019.
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L’exposition de Nora Teylouni témoigne, en images et en textes, de l’histoire d’une identité et d’une relation brouillée. Lui est amnésique et en état de confusion après un traumatisme crânien. Il ne se souvient ni d’elle, ni de leur relation. Elle, pour exprimer l’absurdité de voir l’être qu’on aime ne plus se souvenir qu’il vous aime en retour, a illustré son rétablissement avec 47 portraits de lui.
« Je me souviens du premier réveil, qui a duré quelques minutes, et de notre premier contact. Il a ouvert les yeux et est resté calme. Je lui parlais en marchant autour de son lit tandis que ses yeux me fixaient et suivaient mes mouvements. Il me voyait, il existait.
Ce premier regard est le point de départ de la série de portrait du projet « Quarante-sept jours ». Dans l’attente et en quête d’autres regards, j’ai photographié pendant plusieurs mois le visage et la tête d’un homme sans mémoire et sans identité. Seule détentrice des souvenirs de notre passé et de notre relation, j’ai observé minutieusement, par des plans très rapprochés, ses changements d’états et sa reconstruction à la fois progressive et chaotique. C’est donc dans la capture quotidienne, en attente de rémission, que je le cherche, le trouve, pour le perdre et le trouver à nouveau. Les quarante-sept portraits, correspondant symboliquement aux quarante-sept jours passés à l’hôpital, s’accumulent et forment alors une sorte de travelling, témoignant des oscillations entre présence et absence, apparition et disparition, proximité et éloignement. » – Nora Teylouni
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Dernier jour pour voir l’exposition de Olivia Malena Vidal à la Galerie et rencontrer l’artiste autour de quelques biscuits du thé et du café.